Ce texte prend position sur le rapport annuel de la Médiatrice européenne, l’équivalent pour l’Union européenne du Défenseur des droits en France, Mme O’Reilly. Le bilan de Mme O’Reilly à ce poste est extrêmement louable : elle a dénoncé le manque de transparence des négociations commerciales entre les États-Unis et l’Union européenne (le fameux TAFTA) ; elle a exigé la tenue d’un registre de transparence obligatoire pour les lobbies et a appuyé la nécessité d’une révision du code de conduite des Commissaires. Les combats de la Médiatrice européenne sont justes et nécessaires. Ce rapport du Parlement en entérine plusieurs, je vote donc pour.